Cher Deniz,


Pour les fonctions tertiaires et quaternaires pures (derrière un écran et un téléphone) il est probable qu'une bonne partie des salariés et des uberisés ne retourneront que peu ou pas au bureau même longtemps après ce cauchemar pandémique. Les entreprises ont trop à y gagner en couts de m² de bureau (mais faudra garder le contact avec les troupes quand même, dilemme !)

Pour les activités secondaires de main-d'oeuvre dont l'horlogerie, je ne vois pas trop comment on peut se passer d'un gars/d'une fille qui emboite des roues et des pignons dans un espcace industriel dédié, sauf s'il/elle est remplacé par une machine...

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Je déteste deux choses: l'analyse et le pouvoir. Sviatoslav Richter

A part des cadres travaillant plein fer en télétravail et payés par le chômage partiel je ne vois rien de rare.
Du moins concernant le mobilier.
Les charrettes deviendront minibus, puis charters.

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Je préfère une 100 mètres chez Rolex à une 200 chez beaucoup d'autres.

A Paris/RP, autant Lvmh que Swatch Group, que Richemont, c'est de l'open space pour les activités admin/market/compta liées à l'horlogerie. Depuis bien des années déjà. Ca permet aussi indirectement de surveiller facilement si ca bosse, faut pas être naif...

Les ateliers sont parfois "divisés" en pôles par marque (Richemont), mais souvent c'est atelier classique, chambrée commune, avec ce que ca implique quant aux normes covid à respecter.

En Suisse dans les gros groupes, c'est moins fréquent qu'en France l'open space en admin, chacun son territoire, son bureau tranquilou. Les ateliers (de toutes sortes) sont aussi "en commun".

Actuellement, les personnels qui ont peur sont les sinophones des grands magasins genre Galeries Lafayette, Printemps etc. pas les cadres au siège ou HQ.