En flânant sur IG, je suis tombé sur une montre vintage, dénommée Audiguet, et présentée comme une filiale d'Audemars-Piguet.

Au premier abord, je n'ai pas cru au truc, supputant le fake chinoisant.

Mais en creusant, il y en avait d'autres, plutot de bonne facture : metal précieux, calibre signé...

Exemples !

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Ed the Grocer ancienne maison l'Epicier

genial ! merci comme quoi il y a tjs a apprendre, il faut chercher

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vanitas vanitatum omnia vanitas

Merci Ed pour la découverte,

Mais saviez vous que d'autres marques ont eu recours à cette même politique.

Par exemple RODOR, fusion de Rolex et Tudor.


(C'est presque trop facile, maintenant, avec l'IA, de générer des images à la con... Avant, je devais passer 2 heures sur Paint.Net... Tout fout le camp, ma bonne dame !)

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Les Origami Watches : www.origami.watch.

Ils ne se sont quand même pas fait ch... pour trouver le nom

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Quand les mouettes suivent un chalutier, c'est qu'elles pensent qu' on va leur jeter des sardines

E. Cantona

merci pour cette présentation de la marque Audiguet que je ne connaissais pas.

Les sous marques étaient très fréquentes par le passé, à une époque où on privilégiait la qualité au nom marqué sur le cadran.

Tudor en est un bel exemple. Encore récemment, une Tudor submariner c'était un boitier submariner Rolex, un bracelet Oyster Rolex, un cadran et des aiguilles Rolex, un mécanisme ETA et un prix de vente en conséquence.

Mais ce concept n'a plus vraiment de sens aujourd'hui en horlogerie de luxe.
Ce qui a un sens c'est la marque écrite sur le cadran et non le rapport qualité-prix de l'objet.

Le consommateur préfère acheter très cher une bout de plastique siglé Omega ou Blancpain plutôt qu'un boitier speedmaster avec un Valjoux 7750 siglé Labrador ou un boitier FF avec un 2824 siglé Rayville.

Effectivement je n'avais jamais entendu parler de cette marque...

En lisant le début de ton article je me suis demandé si ce n'était pas une marque pour le marché américain avec un nom plus simple, et les marquages américains sur les photos de mouvements semblaient me donner raison. Et puis tu as trouvé l'explication, une 2e marque pour des montres plus accessibles.

Intéressant de se dire surtout que l'idée a été abandonnée rapidement une fois la crise passée. Comme quoi le secteur du luxe reste un monde à part où la descente en gamme et la stratégie de volumes peut être fatale