Pas drôle...Comme du Mosbillo d'en face.

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Franck aka Franck-&-watch...
THE WATCH : l'unique, la convoitée, la vraie...La Sub'Galfa' (Submariner Galeries Lafayette) !!!

Sacrée coup de plume....toutes les figures de style y passent. Félicitations, j'ai adoré.

-Il s'agit, ni plus, ni moins, d'obtenir de la part des manufactures horlogères le respect de trois critères sur lesquels nous serons absolument intransigeants : premièrement, une réduction massive des prix de détail, tant en ce qui concerne les produits finis que les accessoires et pièces de rechanges. Deuxièmement, une totale transparence quant aux devis et délais de réparation de nos indispensables montres. Enfin, un minimum de respect vis à vis de la masse des consommateurs que nous sommes. Nous ne sommes ni des vaches à lait, ni des veaux !

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Non scholae sed vitae discimus ...

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God save the Triple.

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» Bon. Manifestement, je heurte de plein fouet certaines susceptibilités.
» Alors, à bientôt.


Merci pour cette franche tranche de rigolade.......

Une part de vrai cependant...

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La signature prend de la place inutile

» .
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» Bon. Manifestement, je heurte de plein fouet certaines susceptibilités.
» Alors, à bientôt.



Ah mais non non non!!! Reviens!!

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Tempus et circenses

http://watchphotosblog.eklablog.com/accueil-c24620802

C'est amusant !

J'arrive trop tard , la fête est finie ... Ah bon , j'ai un mp ...

» .
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» Bon. Manifestement, je heurte de plein fouet certaines susceptibilités.
» Alors, à bientôt.

BON!
A la demande de certains petits camarades que j'aime bien, je remets mon texte en place.

MAIS:
avec un préambule!

Le reportage que vous allez avoir l'immense avantage de lire n'est évidemment que pure fiction. En effet, nous ne saurions un instant imaginer, même dans nos délires éthyliques les plus fous, que des amateurs de montres et tout particulièrement de montres produites par des marques aussi prestigieuses et réputées pour leurs immenses et exceptionnelles qualités puissent en venir à s'entre-égorger, s'étriper, s'entretuer, ce qui, chacun le sait ne peut mener qu'à la discorde, voire au malentendu.

DONC, que les chatouilleux se rassurent! Il ne s'agit là que des divagations d'un vieillard cacochyme à tendance alcoolique puisque Breton et dont l'esprit vacille sérieusement au rythme des gorgeons qu'il ingurgite avec une régularité...d'horloge.

EN CONSÉQUENCE: merci de prendre ce texte avec de longues pincettes, puisqu'il rappelle à certains esprits délicats le style d'un célèbre auteur dont les immenses qualités font le bonheur du "Bar d'en Face"

ET, ÉVENTUELLEMENT, il est permis de ne PAS le lire.


La manif !



A la suite de problèmes récurrents de service près vente et de hausse continuelle des prix malgré un marché morose, de très nombreux manifestants se sont pacifiquement rassemblés sur la Grande Place de l'Horloge de notre bonne ville. Que réclament-ils ? Notre reporter, immédiatement envoyé sur place, nous transmet en direct cette interview de l'un de leurs représentants, Monsieur La Bille, membre bien connu du W.W. F.F., autrement dit le World's Watches Manufactories Fucked , en français le C.M.S.P.M.M.

« Monsieur La Bille, pouvez-vous nous dire ce que signifie le sigle : C.M.S.P.M.M. ?
Cela signifie le Club Mondial des Sodomisés par les Manufactures de Montres.
qu'est-ce qui justifie le mouvement que vous dirigez ?

-Il s'agit, ni plus, ni moins, d'obtenir de la part des manufactures horlogères le respect de trois critères sur lesquels nous serons absolument intransigeants : premièrement, une réduction massive des prix de détail, tant en ce qui concerne les produits finis que les accessoires et pièces de rechanges. Deuxièmement, une totale transparence quant aux devis et délais de réparation de nos indispensables montres. Enfin, un minimum de respect vis à vis de la masse des consommateurs que nous sommes. Nous ne sommes ni des vaches à lait, ni des veaux !

-Et comment pensez-vous pouvoir lutter contre l'emprise des grandes manufactures ?

-Notre plan repose sur deux lignes de défense : l'utilisation à outrance des moyens de communications entre les membres de notre immense communauté, ce qui permettra de nous procurer à coût moins élevé les objets qui nous sont nécessaires, soit par achat de gré à gré, soit par troc pur et simple. La deuxième ligne de défense, et pas la moins importante, sera de faire appel à l'ensemble des petits artisans, véritables joyaux de la profession, vers lesquels nous nous tournons avec espoir en leur disant : « Nous comptons sur vous, comptez sur nous ! »

-Beau programme, Monsieur La Bille, mais pensez-vous parvenir à fléchir la rigueur imposée par les grands groupes ?

-Il faut savoir garder l'espoir ; et n'oubliez pas de rappeler dans votre article que la grande masse des victimes pourrait bien se tourner vers d'autres fournisseurs.

-A qui pensez-vous ?

-A l'Extrème-Orient. Il est curieux de constater que, tandis que nos grandes marques augmentent leurs tarifs afin de satisfaire une clientèle asiatique pour qui le prix élevé est le premier, voire même le seul, critère de qualité, ces même orientaux sont capables de nous livrer des objets remarquablement finis à des tarifs abordables ; C'est le monde à l'envers, mon pauvre monsieur !

-Mais que ce passe-t-il ? Ah ! Chers auditeurs, tandis que se déroule cette conversation, voici que surgissent tout à coup, en provenance d'un côté de la Rue du Château et de l'autre de l'Avenue Ruysdaël, deux groupes de contre-manifestants, arborant des tenues de combat et brandissant des pancartes. Un instant, je tente de me déplacer pour essayer de les déchiffrer. Ciel ! Je parviens à lire des slogans de ce genre :

A bas les indépendantistes! Vive l'orthodoxie ! Artisans, mécréants ! Mort aux infidèles !

Les manifestants de la rue du Château avançent en ordre serré, dans leurs uniformes ornés d'une couronne. Au milieu de cette masse compacte, je distingue des porteurs d’icônes représentant leurs Saint adulés. Tous psalmodient derrière ce qui semble être une sorte de clergé :

« Saint Dweeler...
-Hora pro nobis !
-Sainte Daytona...
-Hora pro nobis !
-Sainte Oyester...
-Hora pro nobis !

Mon Dieu ! De l'autre côté de la place, la masse noire des chevaliers de Ruysdaël, progressent d'un pas martial, le bras gauche levé comme pour un salut afin que chacun puisse voir leurs précieux garde-temps. Leurs chefs hurlent :

-Speed !
Et la masse gronde :
-Master !

-Sea !
-Master ! Répond la foule

-Rail !
-Master !

A l'orée de la place de l'horloge, les deux groupes s'arrêtent. Un bref moment de silence. On entendrait un pickpocket voler ! Oh ! Écoutez ! la première insulte a fusé, partie je ne sais d'où, sans doute d'un agitateur vilipendé par l'un des manufacturiers :

« Rétrograde !
Un sourd grondement parcourt la foule...

-Tocante pourrie !
-sale bouse !

Je vois, tout près de moi ,un chef Oméga  s'avancer :
-Votre mouvement est merdique ! Hurle-t-il.

Un prêtre Rolex rétorque :
-Votre boîte est à chier !

Les Rolex lancent en cœur un leitmotiv :
-OMEGA, GAGA ! OMEGA, GAGA !


Sur toute la place, entre les deux groupes, les manifestants pacifiques commencent à s'enfuir par les rues adjacentes. Le pauvre Monsieur La Bille se retrouve seul entre les deux armées :

« Messieurs ! Du calme ! Du sang froid ! Modérez vos ardeurs !»

Mais comment arrêter des mouvements lancés19800 à tours?

Ne quittez pas l'écoute, ne quittez pas l'écoute ! J'ai trouvé refuge sur un abribus d'où je vois toute la scène. Les masses oscillent, avancent, reculent dans un mouvement de balancier, mais s’approchent l’une de l'autre irrésistiblement, les premiers rangs poussés par ceux de l'arrière. Et voilà ! Mesdames et messieurs, l'inévitable est en train de se produire sous mes yeux : magnétisés par la haine, deux rouages essentiels parmi les chefs des deux partis viennent d'entrer en faux contact de plein fouet ! On ne se contente plus de se montrer des index, ou de se mettre en boîte. Le gong a retenti ! L'heure a sonné ! La bagarre devient générale dans un double tourbillon! Aux visages violacés de colère des uns, se heurtent les faces livides de rage des autres. Il n'y a plus aucune retenue. Les coups volent par série de trois, six, neuf, douze !
Ah ! C'est à peine croyable ! les premières fusées partent. La réplique ne se fait pas attendre, à coup de canons. Plus de détente possible ! Des rangs de ceux qui ne peuvent pas faire le coup de poing, on voit jaillir de nouveaux projectiles ! Exacerbés par la rage, les membres des deux clans se jettent au visage leurs montres respectives ! J'ai failli être éborgné par une Datejust. A tout hasard, je la récupère. C'est affreux ! Le sang coule dans les ruisseaux tout autour de la place !
Tiens, sur ma droite, le calme semble revenir lentement. J'entends des ordres et des coups de sifflets Enfin, chers auditeurs, c'est la Police ! Oui ! Je les vois ! C'est un groupe de Modérateurs, armés l'un de ses biceps, l'autre de ses ciseaux, un autre encore d'un sabre-laser. La violence s'arrête. Les malfaisants s'enfuient. Me voici seul sur la Place. Ah ! Non ! Quelque chose bouge au pied de l'Horloge. Je m'approche...c'est Monsieur La Bille ! Mon pauvre Monsieur ! Dans quel état vous ont-ils mis ! Vous n'avez plus une dent en état ! Que puis-je faire pour vous remonter ? Hé ! Monsieur la Bille ! Monsieur La Bille ! Vous m'entendez ? Que dites-vous ? Vous êtes sonné ? Voulez-vous que je vous accompagne à l'Hôpital ?

Chers auditeurs, je vous quitte. A vous Cognac-Jay ! A vous les studios ! Non ! Non ! Encore un moment d'antenne, je vous en prie. J’assiste en direct à un nouveau spectacle ! Mais qu'est-ce que c'est... on dirait des croques-mort. Non, des charognards, mi-homme, mi bête. C'est à faire peur. Oui, c'est bien cela. Des hommes-charognards Mais que font-ils ! Ça y est ! J'ai compris ! Ils ramassent les montres et les morceaux de montres sur la chaussée. Il y en a des centaines, certaines brisées, d'autres non. Elles ne sont pas toutes mortes, mais toutes sont atteintes. Je vais tenter de nouer une sorte de dialogue, si cela est possible, avec l'un de ces êtres.

« Euh...excusez-moi...vous y en a parler français ?
-Ben oui, pauv'pomme, qu'est-ce que tu crois ?
-Ah bon ! Sans vouloir me montrer indiscret, pourquoi ramassez-vous ces cadavres et ses débris ?
-Tsss... à ton avis ? Il est coupé ton micro, là ?
-Voilà c'est fait. Alors, réparation ? Revente ?
-Tout juste, Auguste ! Entre nous, tout était prévu ! Nous on bosse pour le R.S.M.A.
-Le R.S.M.A. ?
-Ouais : le Réseau Souterrain des Manufactures Associées. On récupère, ils reprennent, ils revendent , hop, le tour est joué. Maintenant, mon p'tit gars, si tu l'ouvres tu risques de te faire emboîter. Allez, laisse béton j'ai du boulot, là, et j'ai l'intention de me faire un max de flot.

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Je tiens beaucoup à ma montre, c'est mon Grand Père qui me l'a vendue sur son lit de mort (W. Allen)

Bon, moi je ne comprends rien à ce thread...

Comme je ne comprends rien et qu'en plus ça part en vrille, alors je ferme.

Merci de comprendre que la récré est terminée.

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