regulateur


16/01/16, 11:23
(Modifié par regulateur
le 16/01/16, 13:25)
 

Une revue sur Chronomania avant 50 ans.... (Revues & Essais)

Bonjour a tous,
Tout d’abord, je souhaite me présenter à vous. Je vais avoir 50 ans dans quelques mois, je suis « accroc » à la montre depuis de nombreuses années et la fréquentation de Chronomania n’a rien arrangé. J’ai beaucoup appris en parcourant de façon plutôt assidue le site et ma vision de l’horlogerie et mes goûts ont en partie largement évolué grâce (à cause…) de vous. Je me suis contenté jusqu’alors de simplement regarder sans intervenir car je suis loin de posséder la culture horlogère de certains chronomaniaques.
Cependant, 2016 a démarré et je dois mettre en pratique une de mes bonnes résolutions pour cette nouvelle année : participer et contribuer à la vie de Chronomania en postant ma première revue.

Je souhaiterais donc vous présenter une montre qui a été un vrai coup de cœur horloger : une grande Lange 1 dans une configuration assez peu courante. J’avais possédé jusqu’alors de nombreuses montres plus ou moins habillées et dont les diamètres allaient de 39 mm à 44 mm. Et puis j’ai eu la chance d’être invité à visiter l’usine de Lange & Söhne située à Glashütte en Allemagne. J’avais déjà visité d’autres usines mais celle-ci est tout simplement exceptionnelle. Cela a été une véritable claque.
A l’époque, une montre habillée de 40 ou 42 mm ne me choquait pas….. Je suis à présent convaincu qu’au delà de 39 mm, il devient compliqué d’obtenir le bon rapport épaisseur/diamètre permettant de tangenter le « nombre d’or ». Mais j’aurai l’occasion d’y revenir plus loin.
A mon retour de Glashütte, j’avoue avoir été un peu obsédé par la série des Lange 1 qui pour moi représentait parfaitement l’ADN de la marque. Mais le cahier des charges que je m’étais fixé rendait impossible un achat chez Lange : boitier en or blanc, cadran gris clair et aiguilles bleues. Je n’étais pas à l’époque attiré par l’or rose, l’or jaune me semblait trop « old fashion » et mes moyens financiers ne m’autorisaient pas à accéder au platine. Mais ce que j’ignorais, c’est qu’il existait une série limitée de 100 pièces de grand Lange 1 qui avait été spécialement créée pour la boutique Italienne. Celle-ci correspondait exactement à ce que je recherchais. J’en suis tombé immédiatement « amoureux » lorsque l’on me la présenter. Et je ne fus pas le seul à être attiré par cette combinaison de matière et de couleur. Après quelques tractations avec Lange & Söhne, mon AD réussit à obtenir 2 exemplaires pour la France de cette montre que je vais maintenant tenter de vous présenter au mieux.

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Tout d’abord, un brin d’histoire….
L’histoire de Lange et Söhne remonte à 1845. Ferdinand A. Lange convainc l’état Saxon de lui prêter suffisamment d’argent pour créer un atelier de production de montre de poche à Glashütte. Il sera à l’origine de bon nombre d’inventions qui vont asseoir la réputation de fiabilité et de précision de sa production. Il faut ensuite nous propulser jusqu’à la chute du mur de Berlin pour voir Walter Lange redéposer les statuts de la société Lange & Söhne en décembre 1990, 52 ans après que cette société ait été nationalisée. Quatre ans plus tard, il présente une collection de 4 modèles : la Saxonia, un tourbillon « pour le mérite », un modèle pour femme nommé Arkade et la Lange 1. Cette dernière me semble être l’icône de la renaissance horlogère de Lange et Söhne, même si bien sûr la collection s’est depuis largement enrichie de modèles devenus également des références (je pense notamment au Datograph ) .
Les 4 montres présentées en 1994 par Walter Lange ont été unanimement saluées par la communauté horlogère. J’espère ne pas trop m’avancer en écrivant que la Suisse était jusqu’alors la seule à pouvoir revendiquer de posséder des produits qualifiés de « HH ». Walter Lange a certainement fait « bouger les lignes », mais également les esprits par la qualité des produits présentés. Lange et Söhne revendique ses origines Saxonnes au travers de cette nouvelle collection qui réussissait à combiner un classicisme de bon aloi provenant de son long et glorieux passé horloger à une réelle modernité. La Lange 1 me semble être à cet égard le mélange parfait de cette combinaison parfois si difficile à obtenir entre passé et présent.

Le packaging :
Le moins que l’on puisse dire est que la rigueur Germanique s’exprime clairement au niveau de l’écrin de présentation de la montre : sobre et sans fioriture. Je n’attache pas d’importance à qualité de la boite, mais une marque souhaitant faire partie du cercle restreint de la HH se doit de soigner « l’emballage ». La revue de Néo sur sa Vacheron-constantin traditionnelle est éloquent à ce sujet : la montre est livrée dans une boite principale transparente du plus bel effet, avec une boite de voyages et différents accessoires : l’heureux possesseur de cette montre se sent choyé et même si cela ne revêt pas un aspect fondamental, je considère que cela a malgré tout son importance.
Cette grande Lange 1 m’a été livrée avec un simple écrin contenant les papiers de la montre sous la forme d’un petit classeur contenant 2 livrets : le manuel d’utilisation et le carnet de garantie. Sobre et efficace, mais pas très glamour.

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Le recto de la montre…
Ce qui frappe au premier abord est que le cadran de cette grande Lange 1 ne présente aucune symétrie, à aucun endroit. Tout paraît « décentré ». La plupart des montres présente un cadran très homogène : l’aiguille des heures, des minutes et des secondes se chevauchent. Il peut y avoir éventuellement une aiguille des secondes positionnées à 6 heures. J’exclue évidemment de ce propos l’ensemble des montres présentant des complications plus ou moins sophistiquées.

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Cette grand Lange 1 possède un cadran organisé autour des aiguilles des heures et des minutes. Ensuite, 3 « fonctions » annexes viennent se positionner en arc de cercle à 14h00 (grande date), à 15h00 (réserve de marche) et à 16h00 (aiguille des secondes). On peut d’ailleurs constater l’alignement parfait entre le centre de la grande date, l’axe de l’aiguille de réserve de marche et l’axe de l’aiguille des secondes.
Cette harmonie est immédiatement perceptible sur la Lange 1, ce qui n’est pas le cas sur cette grande Lange 1 (c’est d’ailleurs le reproche principal qui lui a été fait à sa sortie). Il faut dire que contrairement à ses habitudes (1 boite = 1 calibre), Lange et Söhne avait décidé de reprendre le calibre de la Lange 1 en l’implantant dans une boite de diamètre supérieur (41,9 mm contre 38,5 mm) pour créer la grande Lange 1. Ceci explique cela au niveau de l’agencement du cadran.

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Lange 1 (crédit Lange & Söhne)

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Grande Lange 1 Luminous (crédit Lange & Söhne)

J’avoue ne pas être gêné par le croisement du chemin de fer des aiguilles heures/minutes avec celui de l’aiguille des secondes, pas plus que par « l’accrochage » de l’aiguille de la réserve sur le chemin de fer des aiguilles principales. Mais les goûts et les couleurs ne se discutent pas et je comprends que certains trouvent cela rédhibitoire.

Comme je l’ai évoqué ci-dessus, la Lange 1 réussit le tour de force de combiner ses origines Saxonnes à une vision réellement moderne de l’horlogerie. L’affichage si spécifique de la date sur la Lange 1 en est le parfait exemple et est devenue une signature reconnaissable au premier coup d’œil. Il copie en quelque sorte la célèbre horloge à 5 minutes de l’opéra Semper de Dresde dont vous trouverez ci-dessous une photographie. Sur cette grande Lange 1, le guichet de cette grande date est une merveille de proportion, tant au niveau de sa dimension que de son positionnement sur le cadran. L’encadrement poli miroir du guichet offre un contraste du plus bel effet avec la texture poudrée couleur argent du cadran.

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Horloge de l'opéra Semper de Dresde (crédit Lange & Söhne)

J’ai évoqué plus haut que j’étais à la recherche d’une combinaison or blanc, cadran gris clair et aiguilles bleues. J’ose écrire que je n’ai pas encore réussi à trouver une montre (associant ces 3 critères) capable de rivaliser avec cette grande Lange 1. Les yeux de l’amour me direz-vous…. certainement, mais pas que. Ce qui m’a immédiatement frappé dans cette montre est la qualité visuelle de chacun de ses composants pris à part, mais également lorsque vous les examinez une fois réunis. Les aiguilles glaives de cette montre révèle une forme et des proportions quasi parfaites associées à une couleur bleue tout simplement sublime. Cette même perfection se retrouve au niveau des indexes appliqués dont le relief change la façon dont l’œil s’accroche sur le cadran.

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Le cadran argent possède une texture poudrée qui ne saute pas aux yeux au premier abord. Mais en y regardant de plus près, on découvre toute la délicatesse du grain de surface dont l’aspect mat se marrie idéalement avec les aiguilles. Et c’est bien le contraste entre ces aiguilles bleues étincelantes et ce cadran poudré qui permet d’obtenir finalement une forme de « symbiose » qui flatte l’œil.
Ce cadran comporte quelques inscriptions en noir et ne révèle qu’une seule touche discrète de rouge au niveau des 2 derniers indexes de la réserve de marche.

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Le boitier en or blanc quant à lui présente une alternance de surfaces polies et satinées que Lange & Söhne réserve (je pense) seulement à ce matériau, à l’or jaune et au platine. Les boitiers en or rose reçoivent quant à eux un polissage intégral. Cette alternance seulement visible sur le côté du boitier permet sur ce modèle de l’affiner en accentuant visuellement la finesse du boitier. J’évoquai au début de la revue cette notion de « nombre d’or » qui appliqué aux montres, pourrait être le résultat du rapport entre le diamètre du boitier sur son épaisseur. Ce chiffre en lui-même n’est pas complètement pertinent car le positionnement de la montre sur le poignet, le type de corne ou même le bracelet modifie la perception que l’on a de l’épaisseur de la dite montre. (Et je ne parle même pas du tour de poignet qui fausse intégralement la perception que l’on a de la dimension de la montre). Dans le cas de cette grande Lange 1, il serait égal à 3,81 (41,9mm/11,00mm). Pour la Lange 1, il serait égal à 3,80 (38,5mm/10,00mm). Alors que ce chiffre est à peu près le même pour ces 2 montres, le ressenti au niveau du poignet n’est vraiment pas identique. Pour ma part, je trouve la Lange 1 toujours trop épaisse chaque fois que je la passe au poignet, alors que ce n’est pas le cas avec sa grande sœur. A titre de comparaison, je suis toujours sidéré par l’harmonie d’une Saxonia en 37 mm (sur 7,7 mm, soit un rapport égal à 4,80) ou d’une Vacheron-Contantin traditionnelle en 38 mm (sur 7,9 mm, soit un rapport égal à 4,81). Ces pseudo calculs « scientifiques » ne prouvent rien, j’essaye juste de trouver une explication pertinente. Et ce n’est peut-être qu’un hasard ou alors mon œil est peut-être plus sensible a certains équilibres qu’à d’autres…..

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Passons au verso à présent.
Cette grande Lange 1 est équipé du calibre L.901.2 qui est à remontage manuel et qui est directement issu du L.901.0 qui équipait la Lange 1. Depuis, ce calibre a évolué et les nouvelles Lange 1 reçoivent un calibre amélioré, notamment au niveau du saut de date à minuit qui est à présent « sautant ». Pour en revenir au L.901.2, il possède une réserve de marche de 72 heures par l’intermédiaire de 2 barillets. Il comporte 365 composants, 53 coussinets rubis dont 9 dans des chatons en or vissés. L’une des particularités techniques de ce calibre est d’être équipé d’une platine trois-quarts destinée à assurer une plus grande stabilité du mouvement (qui est d’ailleurs une invention de Ferdinand A. Lange). Le revers de la médaille est que cela empêche d’observer toute la beauté « des entrailles » de ce calibre. Mais ce qui reste visible à l’œil permet cependant d’être rassasié.
En tout premier lieu, l’utilisation du maillechort appelé aussi « German silver » (un alliage de cuivre, de nickel et de zinc qui au passage, a été inventé par des Français en 1819) est un vrai régal visuel. Sa couleur, certes à dominante argentée, offre des reflets dorés assez incomparables. La plupart des calibres sont en acier et je trouve qu’ils demeurent assez « froid » en comparaison. Ensuite, l’œil est inévitablement attiré par le coq (ou le pont de balancier, je ne sais pas ce qui est juste) superbement gravé à la main avec bien sûr en ligne de mire le balancier avec son spirale. Et pour finir, l’ensemble se trouve magnifié par la présence de touches de couleur que constituent les chatons en or polis miroir fixés à l’aide vis bleuies, les rubis grenat et l’ensemble de la littérature en écriture dorée. Les anglages de la platine trois-quarts sont parfaits et le peu de composants visibles ont reçu une finition qui ne souffre d’aucune critique. Ce que je peux simplement dire, c’est qu’après 7 ans, je ressens toujours le même plaisir à contempler les détails de cette montre.
Pour couronner l’ensemble, le remontage de cette montre est un plaisir sans cesse renouvelé. La douceur du mécanisme lié à la taille parfaite de la couronne permet de démarrer la journée avec un petit moment de bonheur extrêmement gratifiant. Je ne m’étendrai pas sur la précision de fonctionnement qui est redoutable. C’est de très loin la montre la plus précise que j’ai jamais eu : elle ne dérive quasiment pas (mon dernier test a donné un résultat de +5 secondes sur 7 jours, autant dire rien).

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Et pour finir, le bracelet.
Cette grande Lange 1 est équipé d’un bracelet en crocodile mat dont la couleur oscille subtilement entre le gris foncé et le bleu. Il concourt bien sûr à assurer l’harmonie de l’ensemble en « matchant » parfaitement avec les aiguilles. Ce bracelet est équipé d’une simple boucle ardillon, ce qui n’est pas pour me déplaire. Je n’ai eu que très rarement l’occasion d’avoir une boucle déployante qui se positionne bien sur le poignet et qui soit confortable. Cette boucle est bien sûr en or blanc, gravé d’un Lange en lettre majuscule.
Ce bracelet est confortable et la peausserie ne soufre également d’aucune critique.

En conclusion, cette montre m’a procuré et me procure encore un immense plaisir, bien que mes goûts aient changé depuis 7 ans. Je suis toujours autant séduit par cette combinaison or blanc/cadran gris clair/aiguille bleues. La contemplation du calibre reste également un plaisir toujours renouvelé et jamais épuisé.
Je dois cependant admettre que son diamètre me semble à présent un peu trop imposant pour une montre habillée. La perfection n’est peut-être pas de ce monde…. quoi que…..Mes cinquante ans arrive et le cadeau qui me semble incontournable pour un tel événement est bien sûr une tocante. Cela fait maintenant près d’un an que je feuillette les documentations de quelques marques et je ne suis pas encore vraiment décidé, même si l’une d’entre elle propose un modèle qui correspondrait parfaitement à mon cahier des charges d’une « montre de cinquantenaire ». La prochaine se rapprochera-t-elle de la perfection…ou est-ce un graal impossible à obtenir? Je ne manquerai pas de poster le résultat de mes tribulations.
Une dernière chose, l’inévitable wristshot de fin de revue :

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yala


16/01/16, 11:39

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Super revue !:ok:
J'ai tjs adoré la lange 1 et derivés, la lange essentielle...

loi


16/01/16, 12:16

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Superbe, félicitations et merci pour cette belle revue ;-)

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Pas de deal avec CHRONOAGENT.IT

williger
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16/01/16, 12:38

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Bonjour,
Belle entrée en matière!
Une superbe revue étayée de superbes photographies pour une montre d'exception.

Merci:ok:

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On n'a pas encore touché le fond pourtant on creuse ....

regalis
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16/01/16, 13:33

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

» Je ne manquerai pas de poster le résultat de mes tribulations.
Félicitations:
pour la montre,:yes:
pour la revue (et quelle revue) :ok:
pour l'état d'esprit (participation au forum et tenir une résolution de nouvel an) ;-)

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"Your time is gone!"

rocalin
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16/01/16, 14:58

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Merci pour cette revue! Comme quoi, si à cinquante ans on n'a pas posté une revue sur Chronomania, on a quand même raté sa vie... Bienvenue au club!
Je trouve cette fin de semaine revigorante!

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Always look on the bright side of life!

Séb80


Samara Land, au fond à droite...,
16/01/16, 15:01

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Bonjour,

Merci pour cette revue fort bien documentée.

A.Lange&Sohne: une marque quasi "graalesque" pour beaucoup d'entre-nous.

Puisses-tu trouver le tien pour celle des 50 ans :ok:

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BOYCOTT CHRONOAGENT.IT!

BBT50
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16/01/16, 15:03

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Bonjour,

Félicitations pour cette magnifique revue.:clap:

Cordialement

BBT

plibou


16/01/16, 15:46

@ BBT50

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Superbe !!!!!
jolie revue et jolie montre :ok: :ok:

Tytil


16/01/16, 16:13

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Merci pour cette présentation détaillée de ce très beau modèle
La date dans cette "cage prison" et le "vide blanc" dans le guichet date pour les premiers jours du mois m'ont toujours un peu rebuté ...mais sinon elle est parfaite cette montre !

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CARPE DIEM !

JMR

16/01/16, 16:38

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Chapeau bas

:Laporte:

C'est mon graal horloger avec le Lange 1815 chronograph, j'espère que pour mes 50 j'aurai les moyens de m'en offrir une...

seconde


16/01/16, 19:00

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Merci pour cette splendide revue d'une montre qui le mérite bien !

Jeff d'Alsace
[image]

France,
17/01/16, 09:06

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Bonjour,
Très belle revue, avec une écriture agréable à lire, merci pour ce partage! Cette Lange 1 est magnifique. L&S est la marque graal pour moi depuis de nombreuses années et le cap des 50 venant juste d'être passé j'y pense aussi... Mais les tarifs chez L&S se sont envolés en quelques années, notamment sur les modèles "d'entrée de gamme" et ça n'aide pas la quête!

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Jeff.

autrichongris
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17/01/16, 14:20

@ regulateur

Une revue sur Chronomania avant 50 ans....

Eh Ben ça fait plaisir de lire Chronomania ces derniers jours...
splendide entrée en matière pour ton premier post. Très belle montre et revue de connaisseur ! Merci !!

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Je déteste deux choses: l'analyse et le pouvoir. Sviatoslav Richter

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